La Féline adapte Walt Whitman avec Senga
Senga, Trophée, deux bonnes raisons de reparler de La Féline qui prépare en 2017 son retour musical après sept ans de carrière, un nom qui circule et griffe, des concerts qui mettent à genoux, et un premier album Adieu l’Enfance, sorti il y a trois ans, que l’on réécoute avec un plaisir égal, tant il a fini par se fondre dans notre cortex.
Senga raconte l’histoire d’une femme mi-déesse mi-sorcière, ode poétique à la vie sauvage, à la magie de la femme, et inspiré par des mots du poète Walt Whitman dans son livre fabuleux Feuilles d’Herbes. On vous le fait écouter :
Deuxième extrait, Trophée, un poil plus électronique avec la participation de Mondkopf, le grand couturier des habillages électroniques menaçants et glacés, et qui ici glisse quelques sonorités synthétiques sur ce Trophée gagné par La Féline avec ce titre dépouillé et qui pourtant touche un plus plus à chaque écoute.
Avec Senga et Trophée, La Féline a gagné en force et ces deux titres qui fonctionnent à l’économie des notes, des instruments, n’en deviennent que plus intenses pour peu qu’on se laisse désarmer par cette voix à nu.
Le site web de La Féline : https://lafelinemusic.com/
Prochains concerts :
08/10/16 MERY SUR OISE 95 La Luciole – En Solo
14/10/16 PARIS 75 MaMa Festival – 3 Baudets
15/10/16 BORDEAUX 33 Iboat – En Solo

La Féline, Agnès Gayraud, musique, album, Senga